Témoignage de Bernard
Equipe métier
et président de la formation depuis 2025
Depuis combien de temps participes-tu à cette compétition ?
J’ai débuté ma participation à cette compétition, en formant un jeune qui a représenté ma région aux finales Nationales de Clermont Ferrand en 2012. Ensuite, je suis devenu démonstrateur métier avant de devenir Jury et aujourd’hui je suis Président du Jury Nouvelle Aquitaine, Coach et Juré Nouvelle Aquitaine pour les finales Nationales.
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Un message à nos adhérents, partenaires et aux entreprises ?
La compétition WorldSkills France est un vecteur de communication très important pour séduire des jeunes en mal d’orientation, au même titre que le Concours MOF pour d’autres métiers y compris la Miroiterie, ce qui apporte une visibilité d’excellence aux yeux du grand public.
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Ton rôle dans l’équipe métier en 3 mots, ce qui te motive ?
Seul professionnel dans cette équipe, mon rôle est de vérifier et accompagner la faisabilité des pièces proposées par une équipe d’enseignants, qui n’ont pas toujours la même vision que moi qui exerce au quotidien.
Tes principales missions sur l’ensemble de la compétition ?
Mes missions démarrent par la mise à disposition de mes relations au sein de la profession afin que l’on puisse trouver toutes les ressources nécessaires au bon déroulement des compétitions. Ensuite, je participe à l’installation des matériels lors des
compétitions. Je mets également certains de mes matériels à disposition, car ce n’est pas facile d’avoir tout le matériel nécessaire, pour que les jeunes puissent réaliser le sujet demandé dans les délais imposés.
Ensuite, je sollicite certains adhérents de la FFPV, transformateurs ou installateurs, pour la mise à disposition de la matière d’oeuvre, car on est jamais à l’abri d’un loupé, surtout de dernière minute. Il m’est aussi arrivé de réaliser le sujet pour en vérifier la faisabilité et y porter des corrections quand cela est nécessaire.
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Quelles sont les qualités indispensables pour participer ?
Je ne pense pas qu’il faille des qualités « indispensables » pour participer, mais plutôt juste l’envie de faire avancer cet axe de communication afin que l’on puisse attirer un maximum de jeunes pour l’avenir de notre profession.
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Ta plus grande fierté ?
Fier, j’espère que je n’en suis pas trop aux yeux des autres, mais plutôt très heureux de participer à cet édifice de notre profession, car au moins, j’ai le sentiment de faire quelque chose d’utile et de constructif pour la suite de la pérennisation de notre métier la MIROITERIE.
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Le plus gros challenge à mener ?
Mes plus gros challenges ont été jusqu’à présent plutôt orientés vers des échecs et des déceptions lors de mes diverses participations au Concours Un des Meilleurs Ouvriers de France, mais l’histoire n’est pas encore close, et seul l’avenir me guidera pour la suite à ce challenge.
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Quels résultats espères tu ?
Etre un professionnel reconnu de sa profession et respecté par les autres acteurs.
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Un moment drôle et sympathique, une anecdote ?
Que d’excellents souvenirs des moments passés et à venir lors de ces manifestations, il y a toujours un joyeux drille pour mettre une très bonne ambiance
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Si tu devais donner 3 conseils aux jeunes qui souhaitent participer aux compétitions ?
Il faut foncer sans regarder derrière, car seul les plus courageux pourront avoir une place de choix. Ensuite, la participation à ce type de concours ou de compétition ouvre des propositions bien sympathiques, et permettent de se projeter vers un avenir bien plus coloré et enrichissant.
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En dehors de la miroiterie, as-tu une autre passion ?
Et oui, j’ai bel et bien d’autres passions qui ont toutes une même racine qui est l’ART.En fait, j’ai été musicien professionnel dans ma jeunesse et j’ai joué jusqu’à il y a quatre ans.